Après une attente d’un mois et dix jours, le nouveau gouvernement a été dévoilé. Le ministre de l’Environnement et du Développement durable a été reconduit.
Les terres malgaches se dégradent à une si grande vitesse que si rien n’est fait, d’ici 2030, Madagascar passerait de pays puits de carbone à pays émetteur .
Madagascar fait face à des criminalités environnementales de grandes envergures. La Grande île mise sur la coopération internationale pour les juguler.
Lors d’une rencontre avec la presse, Max Fontaine Andonirina, le ministre de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD), a effectué un tour de revue des actualités environnementales locales. Les questions autour de la lutte contre le trafic ont occupé une partie du rendez-vous.
Madagascar ne recense actuellement qu’un peu moins de 400 agents forestiers, alors que la superficie forestière à couvrir est d’environ 9 millions d’hectares. Un agent se charge à lui seul d’environ 200 000 hectares de forêt.
En quoi la participation de Madagascar à la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques impactera-t-elle sur le pays et la population ? Des réponses ont été apportées le 1er février au Carlton Anosy, lors d’un atelier de restitution organisé par le ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD), en collaboration avec Friedrich-Ebert-Stiftung (FES).
L’atelier de restitution des résultats de la participation de Madagascar à la 28ème Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 28), le 1er février 2024, et la présentation de la Politique Générale de l’Etat (PGE), par le Premier ministre, ont permis de mieux comprendre les contours et les pourtours de la vision du Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD).
Max Andonirina Fontaine vient d’hériter du portefeuille de l’Environnement et du Développement durable, au sein du gouvernement Christian Ntsay, le premier pour cette deuxième mandature de Andry Rajoelina. A 28 ans, le fondateur de Bôndy fait face à l’un de ses plus gros challenges.
Une étude sur les valeurs socioéconomiques des Aires Marines Protégées (AMP) à Madagascar menée par le WWF, le GEF6 et le MEDD a évalué la valeur économique totale du Corridor Marin des 7 Baies à 18 869 722 USD par an.
Une exposition intitulée « Biodiversités » s’est tenue du 11 au 27 juillet à l’Institut Français de Madagascar (IFM). Il s’agit de l’activité phare du projet Varuna science de la durabilité (Varuna SD) qui est l’un des projets mis en œuvre dans le cadre du programme Varuna biodiversité.
