Crimes liés aux ressources naturelles : Quatre malgaches en formation à Gaborone
La première formation sur les enquêtes sur les crimes liés aux ressources naturelles se déroulent à Gaboronne. Madagascar fait partie des sept pays bénéficiaires.
La première formation sur les enquêtes sur les crimes liés aux ressources naturelles se déroulent à Gaboronne. Madagascar fait partie des sept pays bénéficiaires.
Les marins Sri lankais illégaux interceptés avec leurs deux palangriers au mois de mai dernier ont écopté de lourdes peines. Plus d’un milliards d’ariary d’amende chacun et neuf cent millions d’Ariary par dauphins pêchés.
L’humain est au cœur des initiatives de renforcement de la résilience des villes malgaches face au changement climatique. Un projet financé à hauteur de 1 500 000 euros par l’Agence Française du Développement (AFD) est mis en œuvre dans ce sens par le Ministère de la Décentralisation et de l’Aménagement du Territoire (MDAT) pour une durée de cinq ans.
Deux palangriers en situation de pêche illégale ont été interceptés au large de Madagascar. Quatorze marins se trouvaient à leur bords.
L’interception rentre dans le cadre du Plan Régional de Surveillance des Pêches (PRSP) coordonné par la Commission de l’Océan Indien.
En matière d’exploitation minière artisanale, tout procédé chimique est prohibé par les lois en vigueur à Madagascar. L’utilisation du mercure dans les procédés d’extraction de l’or continue toutefois de se faire au vu et sus de tous. Les conséquences sont désastreuses aussi bien pour l’environnement que pour les populations des zones d’orpaillage.
Madagascar a priorisé une vingtaine de types de prélèvements fiscaux dans le cadre de l’application de la fiscalité environnementale. L’objectif étant de renflouer les caisses de l’Etat. Et surtout dans l’espoir de pouvoir financer les initiatives et actions environnementales.
Madagascar entend intégrer les trafics d’espèces sauvages et naturelles dans sa nouvelle Stratégie nationale de lutte contre la corruption. Le pays entend mettre en pratique les liens de connexité existants entre objectifs, acteurs et instruments de lutte contre ces deux fléaux que sont le trafics d’esp-ces sauvages et la corruption.
A l’instar de diverses entités engagées dans la conservation des ressources naturelles et la résilience des écosystèmes ainsi que des communautés, l’Agence Française de Développement (AFD) intervient à Madagascar et dans la région océan Indien. De passage dans la Grande île, Rémy Rioux, Directeur Général de l’AFD nous a accordé un entretien où il aborde les contours des engagements de l’Agence pour la conservation de l’environnement à Madagascar.
Le processus de désertification est en cours à Madagascar et touche les régions de la côte Ouest et des Hautes terres centrales. Si le danger est réel, les sensibilisations et informations sur le processus ne se font pas entendre. Ce, compte-tenu de l’ampleur du processus.
Les effets du changement climatiques impactent de façon considérable sur les écosystèmes marins, plus particulièrement sur le secteur de la pêche dans le Sud-Ouest de l’Océan indien. Un observatoire régional réunissant sept pays de la commission de l’océan indien vient d’être mis en place.